qui a mal tourné et qui a tué l'un des volontaires, "Le Figaro" pointe certains manquements graves de Biotrial, l'instigateur des essais, qui aurait dû conduire le laboratoire à plus de prudence
Ainsi, selon le quotidien, les essais précliniques réalisés par Biotrial sur des animaux se sont révélés loin d'être concluants : la molécule (destinée à lutter contre la douleur et l'anxiété), qui a ensuite été testé sur les hommes, a entraînéla mort de plusieurs chiens cobayes.
Une information "d'une importance considérable. Cela peut être un vrai signal d'alerte", juge la professeure de neurobiologie et phramacologie, Daniele Piomelli, interrogée par le journal qui dénonce des données volontairement cachées.Lire la suite